{{tag>Trusty BROUILLON}}

====== Access.log : fichier journal de Lighty ======

Cette page est ma traduction de la page de la documentation du module **mod_accesslog**.

===== Options =====

  ; accesslog.use-syslog
  : envoyer l'accesslog à syslog
  : par défaut : **disabled**
  ; accesslog.syslog-level
  : niveau de gravité pour la journalisation syslog
  : Voir [[http://en.wikipedia.org/wiki/Syslog#Severity_levels]]
  : pour les valeurs numériques
  : par défaut : **6 (info)**
  ; accesslog.filename
  : nom du fichier d'accesslog si syslog n'est pas utilisé
  : si le nom commence par un %%'|'%%, le reste du nom est considéré comme le nom d'un processus qui sera créé et donnera la sortie
  : par ex.<code>accesslog.filename = "/var/log/lighttpd.log" 

    $HTTP["host"] == "mail.example.org" {
      accesslog.filename = "|/usr/bin/cronolog"
    }
</code>
  : si vous avez plusieurs utilisateurs et que vous voulez que tous les journaux d'accès soient écrits, utilisez <code>accesslog.filename = "\|/usr/sbin/cronolog.."</code>
  : par défaut : **disabled**
  ; accesslog.format
  : par défaut : **format du fichier journal**

===== Format du fichier journal =====

  ; %%
  : caractère %
  ; %h
  : nom ou adresse de l'hôte à distance\\ retourne toujours l'adresse IP de l'hôte, jamais le nom.\\ Donc équivalent à %a, qui n'est pas implémenté
  ; %u
  : utilisateur authentifié
  ; %t
  : heure de fin de la demande
  ; %r
  : demande en ligne
  ; %s
  : code d'état (= **%>s** = **%<s** : compatibilité avec apache)
  ; %b ou %B
  : octets envoyés pour le body
  ; %i
  : Champ en-tête HTTP\\ attend le nom du champ qui doit être écrit entre accolades.
  ; %e
  : environnement
  ; %f
  : nom de fichier physique
  ; %H
  : protocole de requête (HTTP/1.0, ...)
  ; %m
  : méthode de demande (GET, POST, ...)
  ; %o
  : `en-tête de réponse`_\\ attend le nom du champ qui doit être écrit entre accolades.
  ; %p
  : port du serveur
  ; %q
  : chaîne de requête\\ (%q n'est pas précédé d'un "?", contrairement à Apache)
  ; %T
  : temps utilisé en secondes
  ; %U
  : URL de la requête
  ; %v
  : nom du serveur
  ; %V
  : nom d'hôte de la demande HTTP
  ; %X
  : état de la connexion
  ; %I
  : octets entrants
  ; %O
  : octets sortants

  * **%{StrFTime chaîne de format}t** est supporté.

<WRAP center round info 60%>
Non supportés :
^  Option  ^  Description  ^
^%a|adresse à distance|
^%A|adresse locale|
^%C|champ cookie (NS)|
^%l|nom ident (non pris en charge)|
^%D|temps utilisé en ms (non pris en charge)|
^%P|(NS)|
^%n|(NS)|
^%{name}C|(NS)|
</WRAP>

Valeur par défaut :
<code>accesslog.format = "%h %V %u %t \"%r\" %>s %b \"%{Referer}i\" \"%{User-Agent}i\""</code>

<WRAP center round info 60%>
La différence avec Apache est le deuxième champ qui vaut **%V** au lieu de **%l**.
</WRAP>

===== En-tête de la réponse =====

Le module **accesslog** provides a special way to log content from the application in a accesslog file.

Pour noter l'identifiant de session dans le fichier de log accesslog il suffit de spécifier le nom de champ dans un **%{...}o** comme :
<code>accesslog.format = "%h %l %u %t \"%r\" %>s %b \"%{Referer}i\" \"%{User-Agent}i\" \"%{X-LIGHTTPD-SID}o\""</code>

Chaque en-tête de réponse commençant par le préfixe **X-LIGHTTPD-** est supposé spécial pour lighttpd et ne sera pas envoyé au client.

Voici un exemple de l'utilisation de cette fonctionnalité :

<code><?php

session_start();

header("X-LIGHTTPD-SID: ".session_id());  ;>
TEST</code>

<WRAP center round info 60%>
If you log to a pipe and have lighty chrooted the user running lighty will need access to “/bin/sh”.
</WRAP>

===== Voir aussi =====

  * **(en)** [[http://redmine.lighttpd.net/projects/1/wiki/Docs_ModAccessLog|Documentation du module accesslog]]

//Basé sur [[http://redmine.lighttpd.net/projects/1/wiki/Docs_ModAccessLog]] de la documentation.//